Le Bunker de la dimension étrange ...

J'entrais dans le bar et je montais au bureau du Caïd avec Eddy, content de pouvoir revoir tout le monde, j'étais vraiment heureux. Je portais toujours ma chemise de la veille, car evidement avec Eddy nous n'avions pas beaucoup dormit ... Elle était tachée de vin et les boutons arrachés dans le haut et toujours attachée à certains endroit ... Ce fut une nuit ... Excitante, j'espérais pouvoir poursuive nos ébats de la veille en fait ...

J'embrassais fougueusement Eddy tout en lui disant:

-Hmm Il va faloir tester de nouvelles positions, je suis certain qu'ici, il y a tout ce qu'il nous faut ... Dis-je sensuellement.

Je poussais la porte du bureau du Caïd et je poursuivis en laissant totalement tomber Eddy, oubliant presque sa présence et m'exclamant fortement:

-HÉÉÉÉ Bennnn! Ta raté un party d'enfer mon vieux!!!

Je vins le serrer dans mes bras, comme si c'était tout à fait normal venant de moi.

-Où est tout le monde?? L'ambiance?? Il faut de la musique!

Je me servis un verre de Wisky, un bon gros verre, et j'en pris une bonne gorgée. En fait je n'étais pas certain d'être totalement ajeunt depuis un certain temps ... Ça n'aidait pas vraiment à mon état actuel mais même saoul je ne serais jamais comme cela ...

Après avoir passé une étrange soirée très mouvementée, je me réveilla dans un faussé au milieu d'une banlieue que je ne conaissait pas. Qui plus est, je ne me rapellais plus de ce qu'il s'était passé la veille au soir. Tout ce que je savais c'est que j'ai la furieuse envie d'aller me taper une discution avec mon grand ami Carl Hyde! Haha! Il avait toujours le mot pour rire lui haha!

Après m'être relevé et avoir vérifié d'être en un seul morçeau je pris un taxi pour me rendre Chez Benny! Histoire d'aller voir comment ce bon vieux Caïd allait! Il devait vraiment être occupé pour avoir râter une telle soirée! Que d'ailleur je ne me souvenais que peu... aucune importance!

Peu de temps après le taxi s'arrêtat et je paya près de 80$ pour seulement quelques kilomètres! Quel escrot! Pour sa générosité je me permis de crever ses pneus avant qu'il ne parte héhéhé...

J'entra dans le bar avec fracas en lançant un grand "salut" à l'assemblée et je monta directement au bureau de Benny au "ralentit" tout en fredonnant un air de Rocky. Je m'arrêta juste devant la porte et j'attend le moment le plus silencieux pour l'ouvrir en lançant un grand "BOUUU" et en la refermant. Je la réouvrit tout de suite après en riant.

-C'est une blague! Surprise! C'était moi!

Je regarda Carl avec un grand sourire.

-Heyyyyyyyyyy! Carl!

Je lui tandis la main pour faire une séries de poignées de main suivit de bon vieux saut torse contre torse.

Je m'étais réveillée ce matin là avec un mal de crâne terrible, mais surtout avec une TRÈS grande satisfaction. Carl et moi avions baisé comme des fous hier soir. Disons que même moi, j'ignorais que les corps humains pouvaient prendre de telles positions. C'était PLUS que plaisant. Ce fût même difficile de nous sortir du lit pour aller rencontre Benny à son bureau.

Une fois dans le bureau de Benny, Carl m'abandonna à mon sort. Tant pis pour lui! Je trouverais bien un autre moyen de m'amuser. Je m'installa sur le sofa près de la fenêtre, les jambes un peu entrouverte. La joie de porter des jupes très courtes, c'est de ne rien mettre en dessous. Stimulation maximale pour trouver un compagnon plaisant. Bon, j'avais Carl. Mais il me délaissait. N'importe qui qui entrerait dans le bureau ferait l'affaire.

Sincèrement, j'aurais préféré faire beaucoup d'autre chose que de devoir me présenter chez le caïd Benny Sacramento. Il n'avait pas besoin de moi, j'avais beaucoup trop de projets à réaliser. Il y avait de nombreux pauvres et sans-abri qui avaient besoin de mon aide. Aller à la rencontre d'un vilain caïd profiteur de sexe, alcool et argent, QUELLE HORREUR!

Je m'habilla tout de même, ne trouvant décidément rien de beau dans mon garde-robe. Je finis par dénicher un vieux chandail en laine à col roulé bleu pâle. Il ferait parfaitement l'affaire avec cette jupe brune qui était, je dois l'admettre, un peu courte. Elle faisait à peine trois centimètres en dessous de mon genou!

Je me releva les cheveux dans une toque non négligée et attrapa mes lunettes au passage. Elles étaient très sales, je ne comprenais pas pourquoi. On aurait presque dit que je ne les avait jamais porté. Comme si j'allais mettre des verres de contacts.

Une fois au bar, je regarda sévèrement tout ceux qui me dévisageaient d'un drôle d'air. Je monta à l'étage et frappa trois coups secs à la porte avant de l'ouvrir. J'entra dans la pièce et fut littéralement dégoûté. Carl et Yuuri fraternisaient comme deux hommes qui ne devraient jamais fraternisé et la petite salope de Eddy jouait les salopes. J'allais attraper des maladies si je restais trop longuement ici.

-J'espère que vous allez faire vite, je n'ai pas le temps de m'attarder ici au mileu de la fumée, l'alcool et la prostitution!

Je crois les bras et resta près de la porte, prête à disparaître dès que j'en aurais l'occasion.

Dès que Carl pénétra dans mon bureau, je sus que quelque chose clochait. La façon qu'il avait de s'accrocher à Eddy était suspecte. Ils étaient généralement plus discret. La façon dont la jeune femme alla s'asseoir sur le sofa et l'accueil plus qu'amicale de Carl finit de me convaincre. Ils avaient trop bu tout les deux. Enfin, c'était ma première impression.

L'arrivée très.... étrange de Yuuri me faisait maintenant douté. C'était un mauvais trip de drogues qu'ils se faisaient tous? Carl était trop amical, Eddy trop dévergondée (je n'aurais pas dit non à cela lorsqu'elle travaillait pour moi) et Yuuri tout simplement trop.... émotif!?

-D'accord, que se passe-t-il ici?

Avant de pouvoir obtenir une réponse, Clairval entra à son tour dans mon bureau. Si la situation aurait été différente, j'aurais éclaté de rire. Mais c'était vraiment trop pour cela en ce moment.

-Depuis quand tu est contre la fumée, l'alcool et le sexe toi?, demandais-je un peu perdu.

Je les dévisagea tous un à un avant d'aller m'asseoir à mon bureau en me massant les tempes. Je me disais que j'avais vraiment bien fait de ne pas aller à cette fichu fête hier soir. Qui sait, je serais peut-être devenu honnête et intègre!

Je saluais mon bon ami Yuuri comme il se devait, une série de tapes compliqué et une bonne finale avec un saut torse à torse comme il ce devait. Comme c'était bon de ce retrouver, décidement, ont ne faisait jamais rien ensemble.

-Yuuri! Un de ses jours tu viendras te joindre à nous ... Toi moi Eddy ...

J'eu un frisson d'excitation. L'idée de baiser avec tout plein de personnes, qu'est-ce que c'était CHAUD bon sang!

-C-L-A-I-R-V-A-L !!! Je ne penssais plus que tu te joindrais à nous!

Je m'approchais d'elle et je l'embrassais fougeusement sur la bouche en lui tenant la tête par les joues.

-Je t'adore! Tu le savais?? Et cet habit te met vraiment en valeur! (?)

Je revins vers Benny, maintenant que j'avais parlé avec tout le monde et je lui donnait 3 bonnes tapes dans le dos. Il semblait malheureux non? C'était pas bien, pas pour cette merveilleuse rencontre, nous tous ensemble!

-Allons!! Je te prète Eddy ... si je peux me joindre à vous! Qu'est-ce que tu avais à nous dire. NON! attend ... je devine. Ouaisss je sais, que tu t'ennuis de nous Ben!

Je souriais de manière tellement extravagante. Je revins me placer près d'eddy et sans prévenir je lui grimpait littéralement dessus et je me mis à l'embrasser, oubliant tout le monde dans cette pièce.

Pourquoi Benny agissait comme s'il ne nous avait jamais vu? Je sais! C'est un Benny d'une autre dimension! Comme dans l'effet papillon! OUAIIIS! Et bientôt il va se mettre à saigner du nez en se tennant la tête! J'aurais pu continuer à l'observer pour voir si ce que j'espérais allais arriver mais ma princesse de beauté arriva à cet instant.

Je laissa Carl s'en aller vers sa nouvelle femme. Moi je ne voyais que Clairval. Mon coeur chavira. Mon apparition divine de la journée! Ça y est! Maintenant j'ai mon bonheur pour la journée entière! Je m'approcha doucement d'elle et je dis:

-Ho! Que vois-je? Qu'elle est cette illusion? Si ce n'était de mon bon sens je dirais que tu est la plus belle création par la main de Dieu... non... Tu EST la plus belle création de Dieu! S'il-te-plaît ange de la magnificence accorde moi ton coeur! Si je ne puis avoir cet honneur il me faudra mourir sur le champ et dans la plus grand des douleurs puisque je n'aurais pas eu le bonheur ultime de t'avoir à mes côtés pour moi seul...

Je termina ce long discourt avec une pose pseudo-mélo-drama-romantique. Gettant sa réaction. Espérant un baiser en retour.

J'étais vraiment complètement désintéressée par la situation. Enfin, pas complètement. J'appréciais bien que Carl tente de me prêter de la sorte à tout le monde, surtout s'il pouvait participer aussi. Il n'y avait vraiment rien de plus satisfaisant que de sentir des mains d'hommes, et d'autres parties de leurs anatomies, partout sur mon corps. Je fus cependant un peu jalouse lorsqu'il embrassa Clairval aussi ouvertement. J'aurais bien préféré être à sa place.

Mais avant même que je puisse dire quelque chose, Carl grimpa sur moi et se mit à m'embrasser goûlument. J'en profita pour glisser mes mains sous sa chemise et me mit à le caresser, le pincer sans gêne, n'oubliant pas de profiter de ma position pour écarter un peu plus les jambes, lancant une invitation à qui que se soit qui voudrait se joindre à nous.

J'avais déjà commencé ma retraite vers la porte lorsque j'entendis Carl faire preuve de BEAUCOUP TROP de générosité malsaine. Non mais vraiment, j'allais attraper des maladies rien qu'à les imaginer faire des choses anatomiques entre eux. Ils allaient faire un partage de fluides tout à fait dégoûtant et tout à fait contraire à ma religion!

Yuuri m'intercepta cependant avant que je puisse quitter la pièce. Il me déblatéra une série de trucs pas clairs, ni nets.

-Tu n'es pas bien ou quoi? Je n'ose même pas te toucher! Tu as vu l'état dans lequel tu es? Seigneur Jésus! Ne pense même pas à me regarder espèce de petit pervers sans cervelle!

Je redressa la tête et m'éloigna de lui, fièrement, évitant de regarder l'entrejambe de Eddy qui dépassait de sa jupe. Si les choses ne se calmait pas bientôt, je devrais me mettre à genoux et prier pour le salut de leurs âmes fortement damnées.

-Benny, je vous en prie. Faîtes cesser ce bordel. Je sais que vous aimez les bordels, cela ne me surpend guère d'un homme tel que vous, mais m'obligez à y participez. Par tous les Saints, noN!

Je ne savais vraiment plus donner de la tête. Carl et Eddy qui allaient littéralement s'envoyer en l'air bientôt sur mon canapé et à la vue de tous. Yuuri toujours TROP expressif à mon goût. Clairval... sainte-nitouche? Non, ça c'était vraiment étrange. Surtout lorsqu'elle s'approcha de moi, en me vouvoyant (!?), pour me demander de faire cessser le bordel dans la pièce.

-Tu sais chérie, si j'en connaissais le moyen, je le ferais.

Je m'alluma une cigarette et en pris une grande bouffée avant de me lever de ma chaise. J'abattis mon poing fortement sur la table tout en gueulant un «ÇA SUFFIT!» sonore.

J'attendis que tous se calme avant de poursuivre.

-J'ai demandé une explication! J'attend toujours!!

Je commençais à retirer le peu de vêtements que portait Eddy, humm qu'est-ce qu'elle pouvait m'exciter celle là, surtout lorsqu'elle me pinçait de la sorte, j'avais cette envie de la dévorer toute crue!!

ÇA SUFFIT!

J'abandonnais la bouche d'Eddy rapidement en levant la tête vers le Caïd. Hmm je le comprenait, il était tout seul dans sont coin, il est evident que ce doit être assez frustrant ...

-Allonss ... Ne te met pas en colère, je t'avais proposé de te joindre à nous ... La proposition tient toujours tu sais. Dis-je en lui faisant un joli clin d'oeil.

Je premis d'assault la bouche d'eddy puis je la redressais brusquement, passant ses jambes autour de ma taille et la soulevant dans les airs.

-Aller Bebé! Tu m'excite trop!

Je partie avec elle en direction d'une chambre quelconque. Je dit d'une voix forte:

-Qui m'aime me suive!

Et puis j'entrais dans la chambre en laissant tomber la jeune femme sur le lit ... J'approchais lentement et je dis en sortant de mes poche une paire de menotte avec des frou frou que j'agitais doucement sous son nez:

-Allez ... Tu sais ce que j'ai envi que tu me fasse ...??

Je l'embrassais l'oreille, la mordillant doucement. Elle portait toujours ce joli habit de cuir qu'elle portait cette nuit ... Nous n'avions malheureusement pas eu le temps d'expérimenter tout les accessoires qui venaient avec ...

-Ce serait domage de gacher ça hein ... ?

Je leva les yeux d'un air tout à fait désintéressé vers Benny. Il était vraiment lourd ce type. Carl et moi étions en train d'avoir beaucoup de plaisir. Nous n'avions pas le temps ni un ni l'autre de commencer à expliquer des trucs sans explication!

Carl détourna admirablement bien l'attention en me prenant dans ses bras et en me guidant à une chambre quelconque qu'il avait trouvé. Je m'en foutais éperdumment de savoir où nous étions, je n'avais qu'une seule envie, la même que lui.

Il me jeta sur le lit en me montrant de magnifiques menottes. Je lui attrapa le bras et le tira également sur le lit. J'attrapa au passage les menottes et rapidement, je vins lui attacher les mains à la tête de lit en métal.

-Je sais pas ce que tu veux que je fasses, mais je sais très bien ce que je veux te faire, lui murmurais-je à l'oreille avant de la mordiller.

Je glissa mes mains le longs de son torse, en profitant pour le griffer au passage, avant de l'embrasser quasi sauvegement. J'avais des envies de passion en ce moment, de passion très physique.

Je lui mordis la lèvre avant de descendre ma bouche sur son torse, lui mordant la peau, lui mordillant les mamelons. Je descendis en bas du lit et prit mon sac à main. J'en sortis deux chandelles et une longue lanière de cuir.

-Alors trésor, prêt à avoir du plaisir?

Je la laissait m'attacher, près à reçevoir tout les coups qu'elle voulait me donner. Elle ne pouvait tout simplement pas être plus exitante qu'en ce moment. Cet habit la rendait tellement sexy! Et ce fouet c'était tellement Aggrrr !

-Suprend moi! Lachais-je en grognant comme un tigre.

J'adorais lorsqu'elle me griffa le torse, tout ses contacts tellement physique et douloureux, la douleur et le sexe, c'était quelque chose que j'appréciais tellement!

Je donnais des petits coups sur mes menottes, j'avais tellement envi de l'attrapper et de la fouetter moi-même celle-là ... bon ce serait pour une autre fois, c'était ma femme après tout!

-J'ai été vilain! Hmmm Tu dois me punir ...

Je me mis à rire. Comme c'était plaisant d'avoir finalement trouver l'amour de ma vie. Un amour qui aimait les mêmes choses que moi, qui appréciait autant que moi les doux délices d'un acte sexuelle intense et passionné. Je n'allais certainement pas le laisser partir de sitôt. De toute façon, attaché comme il l'était, ce serait très difficile qu'il songe même à partir.

-Oui, tu as été vilain..., murmurais-je en faisant claquer le fouet dans la pièce.

Je m'approcha lentement de lui et glissa ma main le long de sa cuisse, remontant jusqu'à son entre-jambe. Sans avertissement, je lui donna un coup de fouet sur le torse. J'en profita pour lécher le sang qui s'écoulait à peine de sa nouvelle plaie. Je n'avais pas fouetter assez fortement...

-Allons mon amour, énumère moi tous les vilaineries que tu as faites. Si tu fais preuve d'obéïssance, je te ferais encore plus mal.

Je lui mordis le ventre avant de lui retirer son pantalon rapidement. Je m'attaqua à son membre pendant un instant, le stimulant bien, en profitant même pour lui faire sentir mes dents, avant de m'éloigner. Je sortis un briquet et alluma les deux chandelles. J'en déposa une dans un chandelier sur la petite table de nuit. Je grimpa à califourchon sur Carl, et lui caressa le torse.

-Dis-moi que tu m'aimes, murmurais-je tout en laissant tomber un peu de la cire chaude sur son torse.

Je gémis de plaisir lorsqu'elle donna un premier coups sur mon torse. Douloureux, mais tellement bon, et c'était tellement beau de voir sa femme ainsi acoutré en train de me fouetter. Tout l'image de la femme forte ... J'étais soumis ... C'était tellement plaisant.

-Hmmm Tout ce que j'ai fais de vilain?? Mais j'ai fais tellement de choses ... Et je refuse de t'en parler ... Dis-je avec un air coquin.

Je finirais bien par lui dire, mais làa je voulais que tout cela aille plus loin, n'est ce pas. Je laissais echapper un autre gémissement entremêler de douleur et de plaisair. Fixant Eddy dans les yeux je dis:

-Je t'aime ...

J'avais parlé d'une voix basse, comme pour montrer une hésitation que je n'avais pas bien sûre, mais je voulais plus ... Je n'allais tout de même pas être si consciliant.

-Qui m'aime me suive!

Je regarda partir ces deux-là avec l'atroce envie des les suivres... awwww! Comme ils avaient l'air de s'amuser! Juste avec les bruits que j'entendais déjà je me tortillais pour ne pas me précipiter pour y prendre par. J'en gémissais presque comme un chiot qui n'avait qu'une envie: se faire caresser. Avec les bruits qu'il y avait je n'osais même pas imaginer ce qu'il se passait à l'intérieur! Et puis... c'est à regret que je ferma la porte de peur qu'une erection survienne!

-Voyons Benny! C'est toi qui n'est pas normal! Je crois qu'on l'aurais remarquer si nous étions étrange non?

Je lanca un regard doux à mon ange Clairval.

-N'est-ce-pas mon nounours en gélatine rouge?

Je vins me frotter contre elle en ronronnant presque. Réclamant de l'amour. Je savais qu'elle ne m'en donnerait pas mais au moin de cette façon elle m'accordait de l'attention!

-ÉPOUSE-MOI!!!

Je m'accrocha à ses pieds pleurant presque.

J'approcha ma bouche de la bouche de Carl et le mordit tout de même violemment à la lèvre. Il n'était pas assez convaincant. Il ne méritait qu'une bonne punition.

Je vida un peu plus de cire sur ton torse, m'amusant à créer des petites formes, avant de me redresser avec mon fouet à la main.

-Je ne te crois pas Amour. Si tu n'es pas bien gentil et docile, je pourrais simplement décidé de ne plus m'amuser avec toi.

Le fouet claqua de nouveau dans la pièce, allant toucher la peau de son torse à diverses reprises. Je glissa ensuite mes mains sur le torse de Carl, appuya sur les nouvelles blessures, léchant le sang qui s'en écoulait.

-Dis-moi ce que je veux entendre...

Je gémissais toujours lorsqu'elle me touchait avec son fouet. C'était tellement bon, elle ne pouvait pas savoir à quel point ... Les autres en bas devaient tellement s'ennuyer ...

-Hmm J'ai été vilain ... Je suis tellement égoiste de ne pas avoir plus insisté pour que les autres se joignent à nous ... Dis-je avec une pointe de tristesse dans la voix.

Mais je perdis rapidement mon expression de tristesse et un sourire réapparru sur mes lèvres. Je dis précipitement.

-T'avoir pour moi tout seul ... Hmm C'est égoiste, mais tellement bon ... Je ne veux pas te partager cherie! Dis-je en grognant de nouveau.

Lorsqu'elle approcha sa tête de la mienne, j'entrepris de m'étirer le cou pour l'embrasser avidement. Je ne parvins qu'à toucher le dessus de sa tête mais c'était tout de même heureux pour moi de pouvoir la toucher un minimum ... Être ainsi attaché était une véritable torture, d'autant plus que j'étais tellement excité, aussitot qu'elle me touchait je ne faisais que ressentir de l'envie. Et elle me faisait mourir dans l'attente.

-Des menaces? Hmm tu es vilaine aussi ... Attend que je te punisse moi-même ... Dis-je avec un air coquin.

L'espace d'un très petit moment, j'eus presque envie de laisser tomber le fouet sur le sol et tout simplement m'attaquer à la bouche de Carl. Mais ce fut bref. J'avais encore envie de m'amuser. Je savais bien que plus je le poussais à bout, plus j'aurais droit à un immense plaisir. J'avais très hâte!

Je retira rapidement mes lèvres de celle de Carl et le puni pour sa témérité à l'aide d'un coup de fouet.

-Comment oses-tu? JE suis celle qui a le droit de contrôler ici. Je ne te laisserai pas la chance de me punir, murmurais-je en descendant ma bouche vers son membre que j'engloutis d'une traite.

Pendant que je m'efforçais à lui donner du plaisir avant ma langue, ma bouche et mes dents, j'entrais profondément mes ongles dans sa peau. Sur son torse, son abdomen, ses cuisses. De longues traces, parfois profondes. Il était à moi, rien qu'à moi, j'avais le droit de le marquer comme bon me semblait.

-J'attend toujours... Dis-moi ce que je veux entendre... Sinon je mord.. mais VRAIMENT fort... Tu n'as tout de même pas envie que je blesse ton si joli jouet, dis-je d'un air tout à fait innocent en léchant son membre.

Je me tortillais un peu lorsqu'elle me foueta de nouveau et qu'elle entra ses ongles dans ma peau. J'aimais la douleure qu'elle m'infligeait, être ainsi blessé par sa femme, c'était tellement excitant et j'était persuadé que c'était rare en plus! J'adorais ça!

Lorsqu'elle prit mon membre dans sa bouche je sentis une vague de chaleur m'engloutir. C'était tellement bon, c'était déja très bon mais là c'était presque l'extase. Je serrais les dents lorsque je sentais ses dents contre mon membre.

J'attend toujours... Dis-moi ce que je veux entendre... Sinon je mord.

Je me crispais lorsqu'elle me dit ça. Non, c'était tentant de ressentir cela mais je savais que ce serait probablement très douloureux, et je n'avais pas envi qu'elle blesse mon jouet comme elle le disait si bien. Par contre, le simple fait qu'elle me menace de cette façon, c'était tellement torride!

-Je t'aime ... Je t'aime tellement Eddy! Dis-je plus fortement, un peu poussé par la peur d'une morsure, mais il n'y avait rien de plus vrai. Surtout en ce moment.

-Détache moi ... Je veux te toucher! Dis-je avec envi.

Je ne supportais plus d'être attaché, mais cela faisait partit de la torture. Je la fixait avec envie.

Un dégoût apparent pu se lire sur mon visage lorsque j’entendis les bruits provenant de la chambre voisine. C’était tout à fait dégoûtant de simplement s’imaginer cette petite garce de Eddy et ce gros con de Carl en train d’avoir du plaisir ensemble. Et je n’arrivais même pas à imaginer à quoi les bruits étranges pouvaient bien appartenir. Oh ça non! Jamais on ne m’y prendrait à faire ce genre de chose! Le sexe n’est pas un amusement, mais bien une nécessité, pour procréer, pour la descendance du monde. JAMAIS je pourrais moi-même simplement entrer dans un lit avec un homme si ce n’est pour procréer. Et vraiment en cas de grande nécessité. De toute façon, pour le peu d’expérience que j’ai, ce n’est pas très plaisant. On ne sent rien.

Je repoussais violemment Yuuri qui alla s’agripper littéralement à ma jambe. Il était solidement attaché l’imbécile. Je lui donnais un coup de pied avant de fuir plus près de la porte, m’éloignant de lui.

-Tu es complètement malade de simplement croire que je pourrais dire oui à une demande en mariage de ta part! Moi, les types pathétiques et stupides dans ton genre, ça me rend malade!

Je sortis ensuite de la pièce, ne pouvant plus rester près de lui. J’en avais presque mal au cœur.

Hmmmm, quels doux mots à mon oreille! J’adorais entendre Carl gémir de cette façon, surtout lorsqu’il disait qu’il m’aimait tout à la fois. Je savais qu’il disait la vérité, on peut tout faire dire à un homme lorsqu’on dit en otage ses bijoux de famille.

Je lécha son membre langoureusement, le regardant dans les yeux, glissant la longue lanière de cuir sur son torse. Il voulait que je le libère? Maintenant? Oh, quel dommage!

-Non mon cœur, je ne vais certainement pas te laisser libre maintenant…

D’un agile coup de poignet, je lui lacérais à nouveau le torse. Qu’est-ce qu’il était beau comme ça, couvert de blessures, de sang. Je lui souris, léchant rapidement la récente blessure, tout en étirant mon bras vers mon sac à main pour en sortir une petite salière.

-Pourquoi on ne continue pas comme ça, tu n’aimes pas que je m’amuse comme ça avec toi? Tu crois vraiment que tu pourrais faire mieux que moi? Car si tu le crois, je n’ai même pas envie d’hésiter, je vais te laisser me faire ce que tu veux, murmurais-je à quelques centimètres de sa bouche tout en laissant tomber plusieurs grains de sel sur ses blessures fraîches.

Je fermais les yeux lorsqu'elle lecha langoureusement mon membre. Elle était tellement bonne, qu'est-ce que je pouvais dire là-dessus? Elle me rendait tout simplement completement fou! Je laissais echapper un autre gémissement lorsqu'elle me fouetta à nouveau, mais j'appréciais sentir sa langue lecher mon sang ... C'était tellement sensuel et féminin ...

Je vins pour répondre quelque chose mais le sel qu'elle versa sur mon torse se mit rapidement à me bruler. Je me tortillais, souriant toujours jusqu'à ce que quelque chose d'étrange se produise.

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...

Je fixait Eddy d'un air incrédule. J'ouvris la bouché hébété en la voyant répendre du sel sur ... Des blessures visiblements fraiches. Je relevait la tête vers elle et je dis, begayant:

-Que ... Qu'est-ce que tu fais???

Je commençais à respirer rapidement, sentant une colère m'envahir rapidement.

-Merde Eddy! Arrête bordel! J'ai mal!!!

C'était affreusement douloureux. Je ne savais pas comment réagir. Qu'est-ce que c'était que cet acoutrement qu'elle portait? Et ... Pourquoi j'étais attaché ainsi? Et nu par dessus tout ... Et ce fouet ... Elle me fouettait avec?

-Si tu me donne un coup de ton machin ... De te jure que ... Grognais-je furieusement. Ne terminant pas ma phrase. Qu'est-ce que je lui ferait de toute façon? Rien du tout ... Mais pour l'instant, c'était moi qui était stupidement attaché.

Je tournais lentement les yeux vers Carl. Il avait subitement changé de comportement et je trouvais cela un peu étrange. Ce n'était pas la première fois que nous nous amusions de la sorte, il ne s'était jamais plaint avant. Je devais donc comprendre qu'il prétendait souffrir, qu'il était simplement en train de jouer avec moi pour voir ce que j'allais faire.

-Tu me jure que quoi trésor? Tu vas me faire mal? Tut tut tut... Ne fais pas de promesses que tu ne peux pas tenir, c'est toi qui est attaché en ce moment, murmurais-je en lui léchant à nouveau le torse.

Hmmm. Le goût du sang mélangé au sel était exquis. Je me redressa un peu et fouetta à nouveau Carl. Je m'amusais follement.

-En manque d'autorité mon coeur?, dis-je en ricanant un peu.

Soudain, un vertige me prit. Je posa ma main sur le torse de Carl et m'appuya sur lui pour reprendre mon équilibre. Bon sang, je devais m'amuser moins fortement, cela me faisait vraiment un drôle d'effet.

Je la fixait toujours avec incrédulité. Depuis quand agissait t'elle de la sorte. Elle avait prit de la drogue? Je baissais les yeux lorsqu'elle me lecha le torse, je grimaçais toujours un peu tendis que le sel agissait toujours.

Je retins un gémissement lorsqu'elle me fouetta mais je fermais les yeux et je laissais echapper des jurons.

En manque d'autorité mon coeur?

J'ouvris la bouche et je la refermait de nouveau. J'étais completement dépassé totalement, j'étais furieux mais elle m'effrayait.

Je vins pour tenter de la ratrapper lorsqu'elle sembla s'évanouir. Mais je ne fis que tirer et me faire mal avec les menotte. Je donnais ensuite de forts coup voyant qu'elle n'était pas tombé et je dis fortement:

-Détache moi!!! Détache moi bordel Eddy!!!

Je la fixait d'un air totalement furieux, et perdu.