Soirée coquette

(17 ans)

J'ouvris la fenêtre de sa chambre et aida ma nouvelle petite amie à grimper.

-Chut! Ne fais pas trop de bruit. Mes parents viennent à peine de se mettre au lit.

Je souris et l'embrassa. Qui aurait cru qu'un jour je finirais pas trouver mon vrai premier grand amour en Aurélie Ivanovich. Dire qu'elle me tombait tellement sur les nerfs lorsque j'étais plus jeune.

Je jeta un oeil à l'heure. Minuit. C'est bien, on ne risquait pas d'être dérangé.

Je me réveillais, il devait etre environ minuit et je me rendis jusqu'à la cuisine. J'avais faim. Et la nuit, étrangement, j'avais un intense gout de sucré.

Je regardait sur le comptoir et je vis le gateau qu'Eddy avait préparé dans la journée. Il me fixait ... Alléchant ... Je finis par ceder et en prendre une bonne pointe. Je ne savais pas pourquoi, mais le jour, ce gateau ne me faisait même pas envi, et pourtant la nuit il avait l'air délicieux ...

J'en pris une bouchée lorsque j'entendis un bruit. Je fronçais les sourcils. C'était un bruit suspect ... Je montais dans ma chambre et je pris dans mon garde-robe une arme que je cachais toujours ... J'entendis un autre bruit, sa venait de la chambre de Yahn! Bon sang, quelqu'un était entré par la fenetre!!

Je ne perdis pas une seconde et j'ouvris, enfin défonçais à moitié la porte et j'entrais rapidement je pointais l'arme devant moi, de l'autre main je tenais ma pointe de gateau, et pour courroner le tout j'étais en boxer.

Je laissais echapper un grognement en voyant Yahn à la fenetre avec une fille. Je ne baissais pas l'arme et je dis d'une voix seche:

-Cé qui elle??

J'avais parlé de façon autoritaire.

J'embrassa Yahn avec plaisir. Hmmm, une vraie bête celui-là, mais une bête romantique, ça faisait changement. J'étais à peine arrivée que je m'affairais déjà à lui caresser son membre à travers son pantalon de pyjama. La nuit allait être courte.

Soudain, la porte s'ouvrit avec frcas. Je recula vivement de Yahn. Merde! Je détestais que l'on m'arrête lorsque j'étais lancé! Je regarda l'homme un instant, une arme dans la main, un morceau de gâteau dans l'autre.

-C'est qui le vieux croûton? C'est ton père? Celui qui a couché avec ma mère?

Je plissais les yeux et je dis en bougeant mon arme:

-Vieux crouton toi même!

Je laissais echapper un grognement et je dis:

-Ta mère?? J'ai certainement pas couché avec ta mère!

Je fixais Yahn et je dis:

-C'est qui elle? Tu vas me répondre???

Je resta très surpris de voir mon père débarqué dans ma chambre. Meeeeeeeerde! J'allais le regretter amèrement. Au moins, ma mère n'était pas debout. Elle serait sûrement encore plus de mauvaise humeur.

Je fus encore plus surpris en entendant Aurélie dire que mon père avec couché avec sa mère. D'où elle tenait des informations aussi loufoques. Mon père n'aurait jamais osé trompé ma mère.

-P'pa... C'est ma petite amie, Aurélie Ivanovich. Tu sais la fille de Hortense, ton amie de... je-sais-pas-où tu l'as connu en fait. Elle... Elle vient passer la nuit ici!?

C'était plus une question qu'une affirmation.

Je blemis un peu en entendant son nom ... Alors oui, effectivement j'avais couché avec sa mère. Je laissais echapper un autre grognement et je dis:

-Non elle fout le camp!! Et toi tu dors ... Et tu es mieux de dormir ... Sinon tu passeras la nuit avec moi!

Je sortis de la chambre. De toute façon je venais de lui arracher sa porte, ils ne pouvaient plus faire grand chose ...

Je fixais le morceau de gateau, ... J'avais toujours faim moi. J,en pris une bouchée tout en descendant les escaliers.

Je m'étais réveiller au beau milieu de la nuit par un petit "bip bip bip" suspect. La nuit nous prennions soin de mettre un système d'alarme, pas pour que personne n'entre non plutôt pour qur personne ne sorte! Je soupira et réveilla Hortense.

-Elle a encore fichu le camp!

Oui je savais que c'étais Aurélie parceque Matias avait beau arriver à l'adolescence il restait quand même le plus docile des deux... pour le moment.

Je mis rapidement un pantalon et un chandail. Je regarda ensuite mon telephone portable qui m'indiquait précisément l'endroit où elle se trouvait.

-C'est bon elle a prit son portable avec elle on va pouvoir la suivre!

J'attendis qu'elle doit prête et je sortis de la maison prennant la voiture et me dirigea vers l'endroit où elle avait semblé s'être arrêtée. J'essaya d'ouvrir la porte d'entré mais elle était verrouillée... hm... employons la bonne vieille méthode!

Je me donna un élan et fonca dans la porte qui s'ouvrit sous le choc.Je regarda à l'intérieur et je fus térifié de voir Carl.

Premièrement parceque c'était ici que ma fille était et deuxièment parcequ'il était en boxer. Erk... dégoutant...

J'entra dans la maison, à la suite de Yuuri. Je m'arrêta sur le pas de la porte en voyant Carl en boxer. Ça faisait bien dis ans que je ne l'avais pas vu, mais les joyeuses retrouvailles seraient pour plus tard.

-Où t'a mis ma fille?, l'accusais-je immédiatement en m'approchant dangereusement de lui.

Je passa à côté de lui dans l'escalier et monta à l'étage.

-AURÉLIE CLAIRVAL IVANOVICH!

Je fixais la porte avec incrédulitée. Les choses allaient un peu trop rapidement pour moi cette nuit. Je descendis les marche et je dis en menaçant Yuuri de ma pointe de gateau:

-Ma porte bordel!

Je regardais Clairval entrer, elle m'acusa rapidement. Je dis d'une voix normal:

-Elle s'est mit elle-même!

Je baissais ma pointe de gateau et je dis:

-Gardez donc votre fille loin de mon fils.

Je n'avais pas parlé d'un ton agressif, mais simplement comme avertissement ... Je ne voulais pas que mon fils se dévergonde ...

Je me réveilla un peu lorsque Carl se leva pour aller faire je ne sais quoi, mais me rendormit rapidement. Mais je me mis à entendre des bruits suspects et des cris. Je sortis du lit et sortit de ma chambre et tomba face à face avec Hortense Clairval.

-Qu'est-ce que tu fais ici toi?, lui demandais-je brusquement.

Je remarqua alors la porte, en train mauvais état, de Yahn, et la fille à l'intérieur. Je descendis un peu les escaliers et constata que la porte d'entrée était en aussi mauvais état.

-Carl? C'est quoi ce bordel?

Adieu les recommandations du médecin de ne pas s'exciter trop pour ne pas avoir de complications avec le bébé en route.

Je roula des yeux et me cacha derrière Yahn. Son père, ça passait encore, mais mes parents! Merde! On dirait qu'ils n'ont que ça à faire me gâcher la vie!

Je sortis de derrière Yahn et m'avança vers l'escalier, poussant un peu ma mère. Si elle ne s'était pas rattrapé, elle serait tombée dans l'escalier. Tant mieux, il ne m'en serait rester que un.

-Pourquoi vous êtes toujours sur mon dos à me suivre partout! Laissez-moi vivre ma vie comme je le veux! Je ne partirai pas d'ici!

Je tourna mon regard vers Yahn, pour avoir un peu de soutien de sa part.

Je dévisagea Carl, je n'étais pas encore tout-à-fait remis du fait qu'il avait couché avec ma femme. J'avais pardonner à Hortense mais pas à lui. Je lui lanca un regard noir.

-Et pourquoi tu pense qu'elle vient hein? Ton fils lui a surment fourré plein de débilités dans la tête! Tel père tel fils on dirait bien hein?

Je passa devant lui et manqua de foncer dans Aurélie qui s'en venait rageuse.

-Pourquoi vous êtes toujours sur mon dos à me suivre partout! Laissez-moi vivre ma vie comme je le veux! Je ne partirai pas d'ici!

-Pourquoi on te suis? Pour que justement tu ne te retrouve pas avec des garçons comme le fils de cet idiot!,dis-je en pointant Carl.

Je la pris par le poignet.

-Tu rentre sagement à la maison avec nous et j'accepte d'oublier tout ça daccord? Il est tard et tu vois bien que vous n'êtes que deux contre quatre!

Je laissais echapper un grognement mais je ne répondis pas à Yuuri, il m'enmerdait profondément, surtout en parlant de la sorte devant nos enfants.

Je me retournais vers Eddy et je dis:

-J'essaie de prendre les choses en mains ... Tu peux aller te recoucher, j'irais te voir quand tout sera terminé.

C'était plutot un conseil que je préférais qu'elle suive. Je ne supporterais pas de perdre un autre enfant.

-Bien evidement ... La fille d'une nymphomane doit certainement suivre les conseils sexuel de mon fils... Dis-je d'une voix seche en fixant Yuuri.

Je jetais un coup d'oeil désespéré à mon arme et je dis:

-Bon vous partez maintenant? Ou je dois appeller la police?

Je croisais les bras, fixant froidement Yuuri. Je crois qu'il était la personne que je détestais le plus au monde ... non ... Bob ... Je l'exécrais ... mais non, certainement pas autant que Yuuri.

-Tu rentres sagement à la maison avec nous et j'accepte d'oublier tout ça d’accord? Il est tard et tu vois bien que vous n'êtes que deux contre quatre!

Je tira sur son bras pour retirer mon poignet de sa main, mais sans grand succès. Il était beaucoup plus fort que moi, et même si son intention n’était pas de me blesser, il ne me lâcherait pas facilement.

-NON BON! Lâche-mooooooi! T’es même pas mon vrai père, alors t’as pas le droit de me toucher!

Je n’aurais pas dû dire cela, mais il le méritait, nah! Son nom n’était pas son mon certificat de naissance. Même si ma mère disait que c’était lui mon père, je ne la croyais pas. Il était peut-être assez idiot pour coucher avec elle, mais quand même pas pour lui faire des enfants!

Je pris mon cellulaire dans ma poche et le lança sur ma mère.

-Dis à ton mec de me lâcher poufiasse!

-Tu rentres sagement à la maison avec nous et j'accepte d'oublier tout ça d’accord? Il est tard et tu vois bien que vous n'êtes que deux contre quatre!

Je secoua un peu la tête. Yuuri était trop tendre avec elle. Elle pouvait bien toujours se révolter contre moi, étant beaucoup plus sévère. Mais je ne voulais pas qui lui arrive quelque chose de mal. Elle avait toujours TROP envie de défier les autorités. Un jour, elle se retrouvera dans une position délicate et elle fera des conneries. Je ne voudrais pas la perdre de cette façon.

-NON BON! Lâche-mooooooi! T’es même pas mon vrai père, alors t’as pas le droit de me toucher!

Je fronça les sourcils. Voilà qu’elle en remettait. Qu’est-ce qu’elle était bornée! Tant qu’il n’y aurait pas de test de paternité, elle continuera de nier. Je crois qu’elle disait surtout cela pour se venger, pour blesser. Elle ne semblait rien connaître d’autre que de blesser les gens.

J’eus à peine le temps de me protéger un peu le visage lorsqu’elle me lança son cellulaire, qu’elle se mit à m’insulter aussi. Je me mordis la lèvre, pour ne pas répliquer. C’était quelque chose que j’avais appris avec le temps, de ne pas répliquer inutilement pour alimenter un conflit, ou bien de ne plus me servir de mes poings ou de la menace pour arriver à mes fins. Mais avec elle, c’était très difficile. Elle ne semblait réellement pas réaliser à quel point cela nous faisait mal tout ce qu’elle disait ou faisait.

Je m’approcha de Yuuri.

-J’en ai marre, je n’en peut juste plus là… Résonne-la!

Je descendis ensuite les escaliers et sortit à l’extérieur. Je m’alluma une cigarette et m’assit sur le balcon.

-Ça doit bien te faire marrer, hein?, dis-je en sentant une présence près de moi. De voir que je n’ai pas réussi à avoir une belle petite famille comme la tienne. Que ma propre fille me traite de cette façon. Merde…. J’ai pourtant essayé…

Je me pris la tête entre les mains, réprimant une envie de pleurer. Ça faisait mal de se considérer détester à ce point.

-J'essaie de prendre les choses en mains ... Tu peux aller te recoucher, j'irais te voir quand tout sera terminé.

Je lança un regard peu convaincu à Carl, surtout lorsqu’il se mit à insulter la fille de Yuuri et Clairval. C’était vraiment une excellente façon de reprendre les choses en main. Et comment je pourrais aller me recoucher de toute façon, avec tout ce boucan?

Je posa une main sur mon ventre et regarda l’action. Je voyais que Yahn n’était pas à l’aise dans toute cette agitation. Ce ne devait vraiment pas être son intention de créer tout ce remue-ménage, mais il devrait apprendre à penser aux conséquences de ces actes. Je fronça les sourcils en entendant la jeune Aurélie parler à ses parents. Et ils toléraient cela? Si un de mes enfants m’avaient parlé sur ce ton, il l’aurait amèrement regretté. Lillie s’était bien essayée une fois ou deux, mais je ne lui avais pas laissé la chance de continuer.

Je regarda passer Clairval lorsque qu’elle passa près de moi. Je descendis les escaliers et sortit à l’extérieur. Il faisait frais et mon pyjama ne me protégeait pas vraiment. Je réprima un petit frisson.

-Ça doit bien te faire marrer, hein? De voir que je n’ai pas réussi à avoir une belle petite famille comme la tienne. Que ma propre fille me traite de cette façon. Merde…. J’ai pourtant essayé…

J’hocha un peu la tête. Oui, c’était évident que ça me faisait un peu marrer. C’était Clairval après tout! Tout ce qui pouvait lui arriver de mal me ferait marrer. Je pris place près d’elle, plutôt difficilement. Un ventre de huit mois n’est pas l’idéal pour savoir par terre.

-Je ne crois pas que tu ais échouer. Elle est jolie, elle a du caractère, elle va sûrement aller loin dans la vie. Et tout ça, grâce à toi…

Je n’en revenais pas, j’étais en train de réconforter Hortense Clairval! La fin des temps devait être proche. Disons que c’était l’instinct maternel qui parlait. Je ne parlais pas avec Clairval, mais plutôt avec une autre mère de famille.

Je lanca un regard furieux à Aurélie comment pouvait-elle être aussi turbulente? Même que ça dépassait la turbulence elle était carrément en train de se révolter contre nous! Quel malheur! On avait pourtant tout fait pour éviter le pire...

-NON BON! Lâche-mooooooi! T’es même pas mon vrai père, alors t’as pas le droit de me toucher!

Je roula les yeux, mais qu'est-ce-qu'elle avait à toujours remonter cette histoire? Pourquoi est-ce-qu'elle s'amusait tant à dire de telle choses? Personellement ce genre de répliques ne me touchaient plus vraiment mais je n'aimais pas l'entendre douter de ma paternité.

-Dis à ton mec de me lâcher poufiasse!

Là s'en était trop! Qu'elle m'insulte ça passait mais sa mère non! Je garda la poigne sur son bras et l'obligea à me regarder en prennant sa machoire dans ma main.

-Jeune fille je crois que tu a dépasser les bornes! Parle sur un autre ton à ta mère! Qu'est-ce-qui t'amuse à nous traiter comme si nous te battions hein?

Je regarda Hortense sortir l'air démoralisé et je grogna.

-Va t'excuser!

Je la relacha pour la pousser vers l'entrée.

Je serra les dents. Je détestais qu'il me dispute lorsqu'il y avait d'autres gens. Je ne lui avais rien dit de mal à ma mère! Pourquoi il s'énervait comme ça.

-Non! J'ai pas envie de m'excuser! Vous ne vous excusez pas de toujours déranger ma vie privée!

Lorsqu'il me repoussa, je resta sans bouger croisant les bras. Yahn s'approcha de moi.

-Écoute, fais-le... C'est ta mère...

Je le dévisagea un moment. Il me trahissait?! Mais à l'air sur son visage, je réalisa que j'avais peut-être un peu tort.

-D'accord..., murmurais-je.

Je descendis les escaliers et sortit à l'extérieur. Je dévisagea un moment la mère de Yahn me disant qu'elle semblait beaucoup trop vieille pour être enceinte. Moi, j'aimerais bien tomber enceinte bientôt. Je me verrais bien avec un enfant. Je me posta devant ma mère.

-Yuuri me fais dire que je suis désolée!

Ma mère roula des yeux.

-Premièrement, ne l'appelle pas "Yuuri", c'est ton père! Deuxièmement, je n'en veux pas de tes excuses même pas pensé!

Grrrr... Elle m'énerva parfois!

-JE m'excuse! T'es satisfaite maintenant, dis-je en croisant les bras.

Je soupirais lourdement. Ils avaient encore plus de problemes que nous ces deux là. Je m'approchais de Yahn et je dis en le toisant sévèrement:

-Ont va parler toi et moi ...

J'avais parlé d'un ton plus agressif, même si je ne l'étais pas vraiment depuis tout à l'heure, car je devais dire que la scene m'amusait assez, voir la gamine de Yuuri lui parler de la sorte, moi si Yahn me parlait comme ça il ne terminerait pas ses jours dans ma maison.

-Va te coucher. Dis-je toujours aussi sévèrement.

Et ce n'était pas un ton qui laissait permettre quoi que ce soit. J'étais peut-être plus calme mais je ne perdais pas de mon autorité.

Il se tourna vers moi et me regarda quelques instants. Il semblait songer à ce qui était le mieux pour lui. Moi je lui dirait bien que le mieux en ce moment était de m'écouter sans discution. Par contre, à la place il me fit un petit sourire et dit:

-Tu devrais plutot aller regarder dans la chambre de Lillie aussi ...

Il monta finalement à sa chambre. Moi je restais perplexe. Je devais écouter Yahn? J'allais le faire. Je montais rapidement à la chambre de ma fille, j'ouvris la porte et ce que je vis me laissais figé. Lillie sur le lit avec visiblement sont "Hippi" Je laissais echapper un Juron et j'attrapais le garçon par les épaules. Ils laissèrent echapper tout les deux un bon hurlement.

Je le fit descendre rapidement les escaliers, il était en boxer, je ne lui donnait même pas le temps de se rhabiller. Je lui hurlait à la figure:

-Si tu remet les pied dans cette maison je vais t'arracher la tête imbécile!!

Il aquiessa rapidement et sortit de ma maison. Il avait 21 ans et Lillie seulement 17 ...

-Bordel ... Dis-je d'une voix basse

Je me tournais ensuite vers Yuuri, attendant impatiament qu'il quitte ma maison. Je ne le supportait vraiment pas lui. Et je commençais à être de mauvaise humeur là.

Je retourna à ma chambre, regardant désespéremment la porte que mon père avait détruite. Je me dirigea vers la fenêtre et regarda Aurélie. On avait créé bien des remous ce soir. Mais ne dit-on pas que l'amour déplace les montagnes? Bon... nos parents ne devaient pas connaître ce dicton.

J'alla ensuite m'asseoir sur mon lit, regardant devant moi. Je n'avais pas envie de dormir...