Sortie à la Plage[Terminé ... ou peut-être pas ...]

Je terminais d'assomer l'autre homme, lorsque Clairval m'aggripa par le bras. Nous sortiment du bar et marchèrent un long moment avant de s'arrêter.

Je me passais la main sous le nez, je saignais du nez mais je n'avais rien d'autre. Je n'avais jamais sû bien proteger mon visage. mon nez avait été cassé plusieurs fois et maintenant le moindre coup et je saignais. Parfois les enfants jouaient avec moi et si l'un d'entre eux m'accrochaient le nez je me mettais à saigner abondament.

Je regardais Clairval et je dis:

-Ça va??

Je fis un petit sourire, je devais dire que c'éait ça que je voulais en parlant de vouloir bouger, me battre un peu m'avais fait enormément de bien, il y avait tellement longtemps que je n'avais pas fait un combat, juste!

-où est-ce qu'ont va? Demandais-je en continuant d'avancer. Clairval semblait savoir où elle allait, moi je ne connaissais pas tellement bien le centre-ville.

Je marchais rapidement dans les rues, vraiment de mauvaise humeur. Si je revoyais ses types un jour, ils allaient le regretter.

-Oui, je vais bien, dis-je en soupirant. On va chez moi. On va aller te nettoyer un peu, tu es plein de sang!

Après quelques minutes de marche, nous tombâmes dans un quartier plutôt chic avec plusieurs maisons. Je m'arrêta devant une joli maison blanche et ouvrit la porte de la clôture. Je déverrouilla la porte et fit entrer Carl avant de refermer derrière moi.

-Va au salon, je vais aller te chercher une serviette.

J'aquiessais doucement et je me rendis jusqu'au salon. je regardais autour de moi tout en prennant bien soin de ne pas laisser de sang couler par terre. Je dis d'une voix forte pour qu'elle m'entende:

-C'est très joli chez toi ...

Je m'installais sur le sofa lorsqu'elle revint je la remerçiait pour la serviette et je dis:

-Je vais devoir faire quelque chose pour mon nez ... Il saigne de rien ... Dis-je simplement.

C'était tout de même frustrant, et sa avait effrayé mes enfants plus d'une fois.

J'observais Clairval. Je ne savais pas pourquoi. Mais j'étais bien avec elle. C'était rare, enfin, ça ne m'avais pas vraiment arrivé. Je souriais toujours un peu tout en prennant soin d'empecher le sang de couler.

Je pris place près de Carl sur le sofa. Je le regarda me regarder un moment et sourit.

-Arrête de me regarder de cette façon, je vais rougir!

Je pris la serviette des mains de Carl et l'ôta délicatement. Son nez semblait d'avoir arrêté de saigner. J'épongea un peu le sang qui commençait à sécher tout en me rapprochant un peu du visage de Carl.

Je baissa la serviette mais resta près de lui, mon visage à quelques centimètres du sien.

-Carl? Tu sais, j'aime Yuuri. Comme jamais je n'ai aimé quelqu'un. Il est la personne la plus importante dans ma vie après mes enfants mais...

Je bougea un peu, grimpa à califourchon sur les genoux de Carl.

-Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai terriblement envie de toi. Et ce n'est pas l'alcool. Même à la plage... Tu es tellement... toi! Je... C'est mal?, murmurais-je.

Je sentis mon coeur se débattre, voilà que sa recommençais. Moi je rougis par contre. Je la laissais essuyer le reste du sang et lorsqu'elle approcha son visage et me parla. Je restais silencieux. Je dis finalement:

-J'aime Eddy ...

J'approchais mon visage de ses levres et je dis:

-C'est mal ...

Je l'embrassais doucement. Je croyais qu'elle ce moquait de moi, qu'enfin, elle ne faisait que tout ça pour me mettre un peu en colère. Je ne savais pas qu'elle avait envie de moi, et enfin, c'était tant mieux, puisque moi aussi j'avais envi d'elle.

-Moi aussi ... Dis-je simplement ...

Je l'embrassais à nouveau, glissant ma main dans son dos. sous son chandail. la massant délicatement pendant que je l'embrassais. Je savais que je me sentirais mal. Et je me sentais encore plus mal lorsque je me disais que je serais capable de le cacher à Eddy. Je ne savais pas pourquoi, comme si coucher avec Clairval n'Était pas comme là tromper avec n'importe qui ...

Je posais mon autre main sur sa cuisse, remontant lentement sous sa jupe.

En sentant les lèvres de Carl touchées les miennes, j'oublie pendant un moment toutes mes appréhension. Ce n'était que Carl, ce ne pouvait donc pas être si mal.

Je posa une main derrière son cou, tout en répondant à son baiser, en l'approfondissant même. Merde! L'embrasser, ça m'avait vraiment manqué. J'avais toujours adoré l'embrasser.

Je m'éloigna un peu, pour le regarder dans les yeux. Je lui caressa la joue avant de parler:

-J'ai vraiment envie de toi, c'est foU! Tu vas me prendre?

Je terminais le baiser et je ne pris même pas le temps de parler que déja je la soulevait dans les airs. Je la pris dans mes bras, voulant l'apporter dans la chambre. J'étais lancé, je n'avais pas envi de songer à ce que je faisais en ce moment. Je le faisais et c'est tout.

Je marchais en direction d'un endroit, mais ce n'était pas le bon, j'essayais une autre piece ... pas encore. Je montais à l'étage et je dis en laissant échapper un juron:

-Elle est où ta fichu chambre?

Je finis par la trouver, et je la laissait tomber, tout de même délicatement sur le lit. Je grimpais par dessus elle, poursuivant les baisers que nous avions commencé dans le salon.

Je passa mes jambes autour de la taille de Carl et le laissa me traîner. J'aimais les bras puissants de Carl qui arrivaient à me soulever et à me transporter. Je m'attaqua à son oreille et à son cou pendant qu'il cherchait ma chambre, leur donnant de nombreux baisers, les caressant avec ma langue.

Je ne pus m'empêcher de rire lorsqu'il bougonna. C'était du Carl tout craché.

Je repris possession de ses lèvres avec ardeur lorsqu'il me mit sur le lit. Je m'affaira rapidement à sa chemise, la déboutonnant lentement. J'avais appris à me contrôler avec les chemises avec les années. Je ne les déchirais plus, je prenais le temps de les défaire, même si cela me démangeait souvent. Lorsque j'eus terminé, je glissa ma main sur le torse de Carl, caressant ses muscles proéminents et ôta sa chemise avec mon autre main.

Je poursuivais les baisers tout en entreprenant d'enlever le chandail, que je devais précisé était etrangement serré, c'était difficile d'enlever un si petit chandail. Je me demandais comment elle faisait pour garder un tel corps apres deux enfants. Enfin, Eddy n'avait pas grossis, mais bon, Clairval, c'était Clairval.

Je fis descendre ma bouche dans son cou, dans sa poitrine, lui enlevant au passage son soutien-gorge. Je faisais les choses tranquillement, voulant profiter du moment, car je doutais de le recommencer ...

-Pourquoi est-ce que tu me fais cet effet là .. Demandais-je En poursuivant les caresses.

Je faisais desscendre mes mains, vers ses fesses, ses cuisses, la massant délicatement et plutot sensuellement.

Je rejeta la tête vers l'arrière, appréciant la bouche de Carl qui s'aventurait sur mon corps. Il était incroyablement lent, sensuel... C'était très étrange provenant de sa part, mais c'était à la fois tellement stimulant et excitant. Heureusement que ce Carl-là n'existait pas du temps de l'Undercity. Je me serais probablement arrangé pour que les choses soient différentes et cela aurait été dommage pour ma petite vie que j'aimais tant. J'eus alors une petite pensée tournée vers Yuuri, mais elle disparut rapidement lorsque Carl prit la parole. Je ne pouvais pas penser à mon mari en ce moment, je ne le devais pas.

-Pourquoi est-ce que tu me fais cet effet là ..

Je fis un petit sourire et attrapa le visage de Carl, l'approchant du mien. Je l'embrassa passionnément avant de le faire basculer sur le lit. Je me retrouva alors à califourchon sur lui. J'interrompis le baiser et le regarda dans les yeux.

-Parce que je suis interdite... Parce que je suis hot! Parce que je suis carrément ton fantasme..., murmurais-je de façon provoquante avant de le ré-embrasser.

À vrai dire, c'était les raisons pour lesquelles il me faisait cet effet-là. Mais j'imaginais que mes raisons devaient être les siennes.

Je glissa ma main sur son bas ventre, le caressant, ne franchissant pas la barre psychologique du pantalon. Je voulais que se soit mémorable, tant pour lui que pour moi. Je voulais jouer un peu avec lui, rien de bien méchant, mais la simple idée que mon fantasme jouerait avec moi, c'était encore plus excitant.

-Dis-moi.. Que veux-tu que je te fasses?, murmurais toujours sur mon ton provoqueur, ma main glissant lentement dans son pantalon.

J'écoutais sa réponse avec attention. Relevant les yeux vers elle. Ce devait être à peut près ça. De toute façon je ne voyais pas d'autres raison. Je n'étais pas quelqu'un du genre à regarder une jeune femme passer simplement parce que je la trouvait belle. Si j'avais couché avec Mégara, c'était simplement à cause de l'alccol, mais seulement l'alcool. C'était une jolie jeune femme, mais elle ne m'interessait pas du tout.

Clairval c'était autre chose, plus près de mon age. Belle sexy ... Intouchable. J'avais un sentiment de "jeu" dangereux lorsque j'étais avec elle et je ne détestais pas du tout je devais dire.

Lorsqu'elle me fit basculler je ne la retenait pas. Je l'observais, j'avais hâte, tout en voulant savourer le moment, mais je savais que si elle me faisait languir trop longtemps, je finirais par reprendre le dessus.

J'haussais les sourcils à sa question. Qu'est-ce que je voulais qu'elle me fasse? Mais rien du tout ... Disons que je n'étais pas du genre à connaitre 10 milles positions, je pouvais varier un peu, mais ma méthode de faire l'amour était sensiblement la même:

-Quoi? Parce que tu peux me faire quoi? Demandais-je d'un air à demi étonné et demi( quelque chose d'autre que je sais pas XD)

Je la fixai toujours, attendant sa réponse. Je voulais faire l'amour, je ne voyais pas tellement ce qu'elle voulait me faire ... Lorsqu'elle fit glisser lentement sa main dans mon pantalon, je sentais déja quelqu'un s'exciter, j'en avais envi, et il était rare que je veuille autant le faire ... Enfin j'avais toujours aimé faire l'amour, mais parfois c'était plus fort, ou plus faible. Là c'était plus fort.

Je roula légèrement les yeux tout en attrapant finalement le membre de Carl pour jouer un peu avec. Ce type n'avait aucune imagination. Avec Yuuri, on se permettait souvent des petits jeux: on se bandait les yeux, on s'attachait les mains. On laissait aller notre imagination selon l'inspiration du moment.

Je me baissa et embrassant son pantalon au niveau de son membre qui devait commencer à être à l'étroit.

-Je peux te faire tout ce que tu veux, dis-je en léchant son ventre et en remontant lentement. Je peux, par exemple, glisser ton membre en érection dans ma bouche et le sucer, le lécher comme un suçon...

J'aimais parler de cette façon, cela laisser tellement de place à l'imagination. Imaginer que j'allais faire cela, c'était tellement... agrrr. Et lui, l'imaginer me faire des trucs, c'était encore plus agrrrr.

Je restais perplexe. Pourquoi est-ce que je voudrais qu'elle me fasse ça? Je relevevais un peu la tête vers elle et je dis:

-Ont ne peux pas faire l'amour normalement?

J'haussais les sourcils. Disons que je n'avais jamais réellement songé à une autre façon de faire les choses. Je restais silencieux. Enfin, je ne pouvais pas dire ça ... Je fronçais les sourcils. Il y avait bien certaines choses que j'avais envi d'essayer ... Mais, sa ne se disait pas, et puis, elle se moquerait de moi ...

Je plissais le nez et je dis:

-Enfin ... ont pourrais peut-être essayer des choses ...

Puisque sa semblait lui faire plaisir ...

Je me redressa également un peu.

-Tu es un être incroyablement décourageant, tu le savais? Ce doit être d'un ennuie avec Eddy. Pauvre elle! Fais-moi plaisir, dis-moi qu'elle n'attend pas toujours sur le dos que tu ais terminé!

C'était donc un point qui n'avait jamais changé chez lui, toujours aussi terre à terre et en déni avec les divers plaisirs de la vie. Bon, si cela lui plaisait, je ne pouvait rien dire. Mais moi, je n'aurais jamais toléré cela avec Yuuri.

Je repris confiance avec sa dernière phrase. Je remonta lentement, laissant mon corps se frotter contre le sien.

-Essayer des choses? Quelles genres de choses? Je suis toujours prête à essayer des choses tu sais, ronronnais-je presque avant de déposer un baiser dans son cou.

Je laissais echapper un petit grognement et je dis:

-Faire l'amour normalement n'est pas seulement rester sur le dos et attendre que l'autre ai terminé ... Enfin, il y a un travail à deux ...

Je roulais les yeux et je poursuivis en disant:

-Ce n'est pas parce que je ne demande pas à Eddy de se deguisée en sadomasochiste et de me fouetter que je suis ennuyant ...

Je la fixais d'un air bougon, je ne connaissais pas toutes ses "activitées" sexuelles dont elle voulait parler ...

Je fis un petit sourire pervers. J'aimais l'image du "travail à deux".

-C'est dommage, je n'ai pas de fouet... Mais tu sais, le cuir a quelque chose de terriblement... animal... Mais comme je suis déjà à moitié nue, je ne tenterais pas de trouver des vêtements de cuir dans ma garde-robe bondée!

Je le fixa un instant, les yeux lumineux. Je lécha le coin de ses lèvres avant de l'embrasser de nouveau. Je ne voulais qu'il cesse d'être dans l'ambiance. Trop parler, c'est mauvais pour le sexe!

-Je peux t'attacher les mains?, murmurais-je à son oreille. À moins que... tu préfères que se soit moi... Et que tu puisses me faire tout ce que tu veux... Et quand je dis tout... C'est bien évident TOUT!

Je relevais à nouveau la tête et je dis:

-Je ne vais pas t'attacher, et tu ne vas pas m'attacher.

Je relessais tomber ma tête sur le lit et je dis:

-Bon sang ... Tu as de droles d'envie ce soir ... ont ne peux pas tout simplement faire l'amour??

Je ne savais pas si l'idée de me faire attacher me déplaisais tant que ça. Mais je devais dire que ça m'effrayais un peu, venant de Clairval, et que je trouvais ça trop bizzare pour avouer avoir peut-être envie de le faire.

Je relevais la tête allant chercher sa bouche avec mes levres. Je l'embrassais doucement voulant lui faire oublier toutes ses petites idées ...

-Hmmmm... T'es un vilain rabat-joie... Laisse-moi t'attacher.... Je peux même t'appeler "maître" si tu veux pour combler le manque d'autorité que tu dois éprouver....

Je repris possession de ses lèvres à nouveau, pour éviter qu'il ne réponde tout de suite. Je voulais qu'il y pense un petit peu. Je glissa ma main le long de son torse et m'arrêta sur son entre-jambe, continuant le massage que j'avais entrepris plus tôt.

-Mais si tu insistes... Je vais me coucher sur le dos et attendre, dis-je d'un ton provocateur.

Je voulais réveiller la bête en lui. Je savais qu'elle existait et je voulais la voir.

Je fronçais les sourcils et je la pris par la taille pour la faire basculer sur le dos. Reprenant ainsi un peu le controle. Je dis:

-Je n'ai pas envi que tu m'attache , ou que tu restes couchée sur le dos à attendre!

Je plissais le nez et je dis:

-n'y que tu m'appelle "Maitre"!!

Elle commençait à me frustrer un peu. Moi j'avais envi de faire l'amour et avec tout ce qu'elle me disait je commençais à en perdre un peu l'envie. Si elle voulait faire quelque chose, qu'elle le fasse mais qu'elle arrête de parler un peu!

Je lui enlevais sa jupe tout en baissant ma tête vers le bas, Je lui embrassais doucement le bas ventre tout en descendant vers ses cuisses, lui embrassant l'interrieur des jambes, toujours lentement, reprennant peu à peu l'excitation du moment ...

-Hmm putain, murmurais-je en français.

Je comprenais maintenant pourquoi Eddy s'était "attachée" si vite à lui et qu'elle avait tout fait pour le garder. Il était plutôt doué avec sa langue! Pas que mon homme ne puisse pas me satisfaire pleinement mais... bon sang, avec le coup de langue que Carl avait, il réussirait à faire sortir une bonne soeur de ses voeux!

-Tout... ce.. que tu.. diras... Maître Caaaarl....

Je relevais vivement la tête. et je dis en fronçant les sourcils:

-Ne m'appelle pas comme ça ... je ...

Je secouais la tête et je poursuivis en disant:

-J'ai l'impression que je me fais une putte et je n'aime pas ça du tout.

Meme si je n'avais plus l'occasion de voir des prostituées, je les détestaient toujours autant, et penser à elle pendant que je faisais l'amour n'était pas une bonne idée.

Je grogna lorsqu'il releva la tête et arrête brusquement de me faire plaisir. Il était TROP capricieux! Mais bon, j'étais prête à lui obéïr pour qu'il n'arrête pas. Je retins également de justesse un commentaire sur les putes. Eddy en avait été une dans le passé, ce ne serait pas si différent. Ah! C'était méchant de ce que je pensais, mais c'était la tristesse de le voir arrêter qui me faisait penser comme ça... Bon, peut-être que moi aussi je ne l'appréciais pas tant que ça sa Eddy. Je n'aime pas les gens qui ne m'aime pas.

-D'accord, dis-je simplement en me redressant dans le lit.

Je passa mes bras autour de son cou et le força à m'embrasser. Il devrait être moins à cheval sur ses principes, sinon, nous n'y arriverions jamais et se serait déjà le matin, nous serions tous les deux TRÈS frustrés sexuellement, et je ne pouvait tolérer cela!

-Arrête de parler mon petit fantasme sur pattes... Ça gâche tout... On pourrait que profiter du moment... Aller comme nos instincts bestiaux nous disent d'agir...

Je tenta de renverser nos positions de nouveau, mais sans y parvenir, je n'étais pas placée de la bonne façon, et il était beaucoup plus lourd que moi. Hmmm, un homme imposant dans mon lit...

j'haussais les sourcils et je dis:

-C'est toi qui parle tout le temps ...

Je roulais les yeux lorsqu'elle tenta de me faire chavirer et je dis en faisant une petite grimace:

-JE ... suis le plus fort ...

Je crois que je voulais la faire réagir un peu ... Je plongeais ma tête dans son cou, collé contre elle, faisant un peu bouger mon membre contre son sexe, je voulais qu'elle y mette un peu plus d'ardeur, ont semblait tout les deux un peu arrêté à cause de la petite discution de tout à l'heure.

Je fis aller mes mains contre sa poitrine, la massant doucement, tout en faisant jouer ma langue et ma bouche dans son cou et sur ses oreilles.

Je gémis un peu en sentant sa bouche dans mon cou et son sexe sur le mien. Il tentait de me provoquer, je le voyais bien. Et il y arrivait le bougre, et il le savait, c'était évident.

Je le repoussa de toute mes forces et réussit à le faire basculer sur le lit.

-Qui est le plus fort maintenant?, murmurais-je à son oreille avant de la mordre délicatement.

Je fis glisser ma langue le long de son cou après lui avoir volé un baiser. Je descendis ensuite vers son torse et emprisonnant un de ses mamelons dans ma bouche. La plupart des hommes ignoraient que cette partie de leur corps était aussi sensible que celle des femmes.

J'en profita pour défaire sa ceinture avec impatience. Je lui ôta son pantalon et son caleçon en même temps, l'appréciant au passage. Dans mon souvenir, il ne portait pas ce genre de caleçon moulant.

Je m'attaqua ensuite à son membre, commencant par ne lécher que le bout et glissant ma langue dans toute sa longueur.

Elle me prit tout de même par surprise lorsqu'elle me fit basculer mais je la laissait faire, j'aimais bien lorsqu'elle prennait également les rennes, et j'aimais les prendres aussi. Je respirais un peu plus rapidement lorsqu'elle commença à s'attaquer à mon membre, je commençais à être excité, je ne savais pas si elle attendait que ji aille ou si elle allait s'en charger.

Je déçidais de la laisser un peu faire, je ne détestais pas du tout le contact de sa langue et de sa bouche sur mon membre, même que j'aimais beaucoup.

Je ne savais plus tellement quoi faire. Je laissais aller mes mains sur sa tête et je dis:

-Arrête maintenant ... ont y va ...

Mon membre était bien dure et je ne savais plus combien de temps je résisterais à ce genre de choses ...