La Découverte [Terminé]

Je resta un peu surprise par son baiser, il y avait de l'espoir donc. Ça me rassurait.

-Tout ce que je veux... c'est quelque chose qui me permetterais de croire que tu a vraiment changer pour de bon.

Cela ne me rassura pas longtemps lorsque je le vis ôter son alliance et la déposer sur un meuble. Je resta pétrifiée un moment. Je m'avança lentement vers le meuble et prit l'alliance entre mes doigts, tout en réprimant un frisson.

Je monta à l'étage, l'alliance de Yuuri toujours dans mon poing. Je ne voulais pas la lâcher. Je m'arrêta un instant devant la porte de notre chambre à coucher. Je ne pouvais pas y entrer, je n'en étais pas capable. Surtout en voyant Yuuri dormir par terre...

Je me dirigea vers la chambre de Matias. J'alla m'allonger sur son lit, sans prendre la peine d'entrer sous les couvertures. Je pris son ours en peluche favori et le serra dans mes bras. Dire que cet ours était mon favori également lorsque j'avais son âge...

Je me mis alors à fixer une photo de famille sur la table de chevet de Matias. J'avais pris la peine de mettre des photos de notre famille partout dans la maison. J'étais tellement fière de ma petite famille. Bon, j'avais encore envie de pleurer maintenant. Mais Yuuri n'était plus là, je pouvais donc me laisser aller.

Je me mis alors à pleurer en silence, serrant l'ours entre mes bras et l'alliance dans ma main. Comment est-ce que je pourrais lui prouver que j'avais réellement changé, que sans lui, ma vie ne valait rien? Je ferma les yeux et finit par m'endormir d'un sommeil léger, les joues mouillées.

Je finis par m'endormir au beau milieu de la nuit, mes pensées étaient incapable de se tourner vers autre chose. Je me retournais constemment cherchant à trouver le someil jusqu'à ce que j'aille prendre un somnifère dans la salle de bain. Ces médicaments étaient efficaces, mais pas assez. Je me réveilla tôt le matin, le soleil venait à peine de se lever.

Je grogna en me levant, me demandant un instant pourquoi j'étais couché sur le sol jusqu'à ce que la soirée me revienne en tête. Je me laissa retomber sur le sol, le regard fixant le vide. Malgré tout le bonheur que je pouvais avoir, j'avais toujours espérer me sortir du train-train de la vie de gens ordinaire. Me voilà servis...

Je me releva au bout d'une bonne heure lorsque je me décida d'aller prendre une douche. Rien de mieux pour ce remettre les idées en place.

Je me réveilla brusquement en entendant l'eau qui coulait dans la douche. Je me redressa lentement dans le lit avec un mal de tête atroce. Les événements de la veille me revinrent rapidement et je regarda l'alliance qui était toujours dans ma main. J'ôta rapidement mon pendentif avec mes plaques militaires. J'avais décidé de continuer de les porter après être sortie de prison, pour ne pas oublier par où j'étais passé. J'enleva les plaques et mit l'alliance de Yuuri à la place, avant de remettre le pendentif.

Je me leva, replaça les couvertures correctement et sortit de la chambre pour me diriger vers la mienne. J'en profita pour m'habiller pendant que Yuuri n'était pas là. Je ramassa la couverture et l'oreiller par terre et les rangea. Je posa mes plaques dans un coin et décida de descendre à la cuisine. Un café me ferait du bien.

En passant en face de la salle de bain, je ne pus empêcher mes yeux de dériver vers la silhouette de Yuuri. Je soupira et vins pour continuer mon chemin, lorsque mon regard s'arrêta sur quelque chose sur la vanité. Mes yeux s'ouvrirent grands. Merde, c'était le test de grossesse que j'avais fait hier matin et dont j'avais oublié de regarder le résultat. Si j'entrais dans la pièce en ce moment, Yuuri me verrait.

Je descendis à la cuisine et prépara du café. Yuuri n'était pas du genre observateur le matin, il ne le verrait pas...

Je resta un bon moment dans la douche sans vraiment me laver, je ne faisais que rester debout sous le jet les yeux fermés. Je faisais le vide dans ma tête, c'étais relaxant. Même si une partie de mon esprit restait encrée sur l'évenement.

Je sortis de la douche lorsque je sentis l'eau commencer à refroidir lentement. Je pris une serviette sur le support et je m'essuya, mon regard se posa sur le test de grossesse. Pas étonnant, je la soupsonnais de prendre les moyens pour pouvoir tombée enceinte de nouveau comme "oublier" de prendre sa pillule ou percer les condoms avec une aiguille...

Je secoua la tête, la question était. Quand est-ce-qu'elle l'avait fait? Je mis la serviette autour de ma taille et pris le test, elle semblait l'avoir oublié là...

Je regarda autour de moi, hésitant puis je regarda le résultat... hé merde! J'espèrais pour elle qu'elle ne l'avait pas fait après avoir couché avec lui parceque ses problèmes seraient loin d'êtres terminés.

Avec le test en main, je me rendis à la cuisine où je le lui tendis.

-Quand l'a-tu fais?

J'essayais de garder mon calme. je devais tout de même garder un certain air qui disait que j'étais toujours en colère.

Je me versa une tasse de café et en prit une gorgée. Ça ne me faisait même pas du bien. Il était fade et sans goût. Je vida ma tasse dans l'évier lorsque j'entendis Yuuri arrivé.

-Quand l'a-tu fais?

Je me tourna vers lui. De quoi il parlait? S'il parlait de quand j'avais couché avec Carl, il le savait déjà. Mes yeux se posèrent alors sur le test de grossesse qu'il avait finalement trouvé. Je me sentis ramollir un peu. Je savais qu'il n'était pas nécessairement très désireux d'avoir un autre enfant maintenant, surtout avec les deux monstres que nous avions déjà.

-Hier matin... pourquoi?

Je pris le test et le regarda. Je m'adossa à la table, trop surprise. Je ne savais pas si je devais rire ou pleurer en ce moment.

Je releva mon regard vers Yuuri, incertaine. J'étais plutôt contente, malgré les circonstances, mais j'ignorais ce que Yuuri en pensait. Il avait l'air fâché.

-Ce n'est pas une bonne nouvelle, hein?

Je me rapprocha dangereusement et pris le test de ses mains pour le déposer sur le comptoir. Je la regarda de toute ma hauteur les bras croisés et le regard sérieux, m'approchant encore jusqu'à ce qu'elle soit prise entre moi et le mur. Et contre toute attente je passa mes bras autour de sa taille et l'embrassa.

-Et bien, je dirais que ça te donne neuf mois pour trouver une façon de te faire pardonner...

Je lui lanca un regard espiègle, oui j'étais toujours en colère mais quel sans coeur je serais si je restais de marbre face à une telle nouvelle? Elle était enceinte et de moi en plus! Donc on pouvait empêcher toutes chances qu'elle soit tombée enceinte la soirée précédente.

-Mais ça ne veux pas dire que j'oubli pour autant!, dis-je en lui volant tout de même un long baiser par la suite.

Yuuri me fit peur lorsqu'il s'avança comme cela vers moi et qui me fit prisonnière entre lui et le mur. J'avais presque l'impression qu'il allait me tuer.

Mon coeur se mit à battre la chamade lorsqu'il m'embrassa. J'écoutais à peine ce qu'il me disait, je m'en foutais un peu à vrai dire. Tout ce qui m'importait en ce moment, c'était le baiser qu'il me donnait. Je glissa mes bras autour de son cou et répondit à son baiser avec passion.

J'avais eu tellement peur de le perdre. Je savais que j'avais du chemin à faire, mais je ne l'avais pas complètement perdu. C'était l'important.

-Je t'aime, murmurais-je entre deux baisers.

Je me baissa légèrement pour attraper ses cuisses et la soulever de terre, me facilitant ainsi la tâche. Malheureusement elle portait un pantalon, me coupant l'accès, moi par contre je ne portais qu'une serviette. Mais rien ne m'empêchais de profiter au travers les vêtements, je glissa mes mains le long de ses cuisses jusqu'à ses fesses et je la ramena vers moi d'un coup vers on bassin comme une provocation.

-Je t'aime

Je fis un petit sourire et je l'étendis sur la table de la salle à manger. Je glissa mes mains sous son haut et dis tout bas:

-Je t'aime...

Je vins près de son oreille en déposant quelques baiser le long de son cou.

-Tu m'appartiens... et si un autre homme que moi ou Matias devient un peu trop familier avec toi. Il disparaitra...

Je revins l'embrasser, oui ce que j'avais dis constituais en quelques sortes des menaces mais si c'était ce que je devais faire pour qu'elle reste fidèle, je le ferais. Mais je rajouta tout de même pour alléger le tout:

-Je t'aime...

Je lui retira son chandail tout doucement.

Je n'entendis pas vraiment les paroles de Yuuri, tout concentrée à contrôler mon corps et les pulsions que mon mari lui assénait.

Je compris vaguement qu'il parlait de tuer quelqu'un. Ça me flattait dans un sens et ça me motivait également à ne pas recommencer mes bêtises. Bêtises dont je ne comprenais même plus l'utilité lorsque Yuuri m'aguichait de cette façon. Pourquoi est-ce que je ne pouvais pas considérer mon homme comme mon fantasme? Oui... À partir de maintenant, je n'irai plus voir ailleurs.

Je l'aida à m'ôter ma camisole et me redressa sur la table pour pouvoir mieux l'embrasser. Je glissa mes mains sur ses hanches et fit tomber la serviette par terre.

-Oups, dis-je entre deux baisers sur un ton espiègle.

Je laissa mes mains glissées le long des cuisses en remontant vers le dos stimulant toutes les partie de son corp, avec le temps j'avais appris comment lui faire perdre la tête. Évidemment je devais toujours renouveler pour ne pas sombrer dans la routine. Et aujourd'hui j'avais décider à lui faire regretter par la plaisir...

Je détacha les agraffes de son soutien-gorge que je rejeta au loin, mes deux mains prirent possetion de sa poitrine pour commencer quelques manipulation expertes. Je répondais toujours à son baiser même lorsque je sentis ma serviette tomber au sol.

-Oups

C'était étrange de constater qu'elle n'était maladroite que dans nos ébats...

Je délaissa un moment ses seins et entreprit de lui retirer son pantalon en la raccouchant sur la table. Je descendis mes baiser le long de son ventre et tira d'un coup sec sur les bord. Encore une fois, le vêtement disparu loin dans la cuisine.

Je grimpa sur la table et je me réempara de ses lèvres, titillant son intimité avec mon membre pour la faire languir encore plus longtemps. Je descendis lentement mes baisers vers son cou et je dis à son oreille:

-Punition numéro un...

Je la regarda avec un sourire malicieux et je descendis de la table pour partir vers la chambre pour m'habiller, laissant ma serviette dans la cuisine. Avec Hortense Clairval, il suffit de l'émoustiller au maximum et d'arrêter soudainement pour lui donner une leçon

Je me laissa faire, appréciant le contact des mains de Yuuri sur mon corps. Il me connaissait par coeur, il savait exactement ce qui me rendait folle ou non. Et en ce moment, il était en train d'essayer de me faire perdre la tête. Je n'allais quand même pas l'empêcher.

Je commencais cependant à être un peu impatiente lorsqu'il commencait à me narguer avec mon membre.

-Punition numéro un...

Je fronça les sourcils en le voyant sourire et ouvrit la bouche de surprise en le voyant descendre de la table et monter à l'étage. Il n'allait quand même pas me laisser en plan toute nue sur la table de la cuisine? J'avais vraiment envie de courir derrière lui et de lui sauter dans le dos et le violer ou lui faire regretter. Mais... Il venait de dire que c'était ma punition numéro un. J'allais en avoir d'autre. Je laissa retomber ma tête sur la table et regarda à l'extérieur. Je vis alors notre voisin qui regardait par la fenêtre. Je lui envoya la main et il partit rapidement.

-Pervers!, murmurais-je entre mes dents en descendant finalement de la table.

Je remis mes vêtements, encore sous l'adrénaline de la passion que j'avais failli vivre. Je pris la serviette que Yuuri avait laissé par terre et monta à l'étage.

-Tu aurais pu ramasser ta serviette, dis-je d'un ton bougon en ne le regardant pas. Et il va falloir mettre des rideaux maintenant aux fenêtres. Le voisin semble apprécié regarder ici.

Il devait déjà nous avoir surpris plusieurs fois. Je pourrais peut-être lui intenté une poursuite... J'entra dans la salle à coucher et alla chercher les dossiers sur lesquels je travaillais, toujours sans lancer un regard à Yuuri. Je savais bien que le bouder ne le rendrait que plus fier de ce qu'il venait de me faire, mais tant pis. J'avais envie de bouder.

Je roula les yeux en la voyant faire, quelle gamine. Et dire que c'était moi le cocu dans tout ça! Je secoua la tête de découragement gardant quand même un petit sourire amusé. Je termina de m'habiller et je m'approcha.

-Tu pense que tu peux te permettre d'être bougonne Hortense?

Au moin je savais que j'avais atteind mon objectif. Je un sourire de plus en y pensant.

-Tu est triste parceque tu n'a pas eu ce que tu voulais?

Je tappa dans mes mains un coup, je venais de prendre une décision.

-À partir de maintenant c'est moi qui décide où et quand daccord?

Pour ajouter à ma provocation je lui donna un petit baiser sur les lèvres et je sortis de la chambre pour aller dans la cuisine me faire du café. Cette fois-ci je le buverais! Je regarda par une fenêtre et vis le voisin dont elle venait de me parler. Je lui envoya la main avec un sourire, apparement il le prit mal puisqu'il se sauva.

Je m'abstins de faire des commentaires sur ce qu'il venait de me dire. Il ne s'en amuserait que plus de m'entendre, alors je préférais me taire.

Je me tourna vers lui en l'entendant frapper dans ses mains.

-À partir de maintenant c'est moi qui décide où et quand daccord?

Je fronça les sourcils. Non, pas d'accord! Il trouverait des endroits vraiment étranges et je n'aurais pas le droit de refuser, car il n'arrêterait pas de remettre la soirée d'hier sur le tapis. Mais bon, je n'avais pas vraiment le choix. Je fus quand même contente qu'il me donne un petit baiser.

Je descendis également à la cuisine. J'aimais bien notre maison, mais il manquait d'espace. J'aurais aimé avec un bureau et maintenant, avec un autre bébé, il n'y aura vraiment pas assez de place. Il va falloir déménéger probablement. On serait débarrassé du voisin au moins.

-J'imagine que je n'ai pas le droit de protester ou de remettre en doute ta dernière idée!, dis-je en m'asseyant à la table.

Je m'assis à mon tour à la table une tasse dans chaque main, j'étais peu être encore en colère mais j'étais encore serviable. Je déposa sa tasse assez loin de ses documents et la mienne face à moi.

-Tu veux que ce soit un garçon ou une fille?

Moi évidement je voulais un garçon, j'en avais déjà un mais j'avais déjà une fille aussi. Un garçon c'était toujours moin compliquer, avec une fille il faut tenir l'oeil bien ouvert et surveiller tout les joujoux masculins du quartier. Tandis qu'avec garçon il n'y en a qu'un a surveiller. Et avec des parents comme nous, ces enfants là n'étaient pas destinés à être chastes.

Il fallait penser aussi à me trouver un autre job, celui que j'avais présentement ne rapportait pas beaucoup. C'était pratiquement Clairval qui faisait vivre cette maison, ma fièrté d'homme en prennait un coup.

-Je pourrais poser pour des magasines porno pour gagner plus d'argent...

J'ouvris mes dossiers et lut en diagonale le dernier rapport pour voir où j'en étais rendu.

-Je veux une fille... Et ce va être une fille, dis-je sur un ton catégorique.

Les garçons, c'était beaucoup trop turbulent. Il n'y en avait qu'un dans la maison et il déplaçait beaucoup d'air, alors deux!

Je tendis le bras vers la tasse de café que Yuuri m'avait apporté et en prit une gorgée.

-Je pourrais poser pour des magasines porno pour gagner plus d'argent...

J'avala de travers et failli recracher le café sur mes dossiers. Il l'avait fait exprès! Je leva les yeux vers lui.

-Pourquoi? Tu n'es pas bien avec ton travail d'interprète?

Je ne voulais pas qu'il se mette complètement nu pour les hordes de femmes en manque qui lisent les revues playgirls.

Je roula les yeux avec un petit sourire, décidée comme elle l'était on pourrait croire que le bébé allait vraiment être une fille. Encore neuf mois et le mystère sera dévoilé. Et puis, ce bébé me donnait la chance de vivre ce que je n'avais pas encore vécu même si elle avait déjà eu deux enfants de moi.

-Tu veux qu'on parie?

Je lui lança un regard provocateur.

-À moin que tu ai peur de perdre...

Et bien sûr, avec elle la provocation fonctionne toujours. Haaa les joies de l'impulsivité!

-Pourquoi? Tu n'es pas bien avec ton travail d'interprète?

J'appuya mon menton sur la paume de ma main en soupirant, non je n'étais pas du tout bien avec ce travail. S'en était tellement ennuyant qu'un simple verre d'eau renversé devenait un vrai film d'action.

-Tu crois vraiment que c'est la joie de rester assis pendant environ trois heures à traduire des tonnes et des tonnes de discourt assomants? Non... je n'arriverais jamais à tenir toute une vie comme ça. Et rester assis trop longtemps, au bout d'un moment je vais accumuler la graisse au ventre!

J'étais horrifié de ne serais-ce qu'imaginer me retrouver avec une "bedaine".

-Et puis, ça ne me rapporte rien! Je fais la moitié de ton salaire tu te rend compte? Avec un enfant en plus il va falloir changer de maison pour une plus grosse encore...

Je m'avança vers lui..

-Oui, je paris. Ce sera une fille!

Je fis un sourire en coin et me redressa sur ma chaise. Je souris à sa "crainte" et le rassura:

-Tu as déjà de la graisse au ventre...

Je pris une autre gorgée de café. Ça faisait du bien de se parler normalement malgré les récents événements. Ça me donnait l'impression que plus rien de ma lne pourrait se produire.

-Tu peux toujours tenter ta chance comme mannequin... Pas pour les revues de femmes par contre. Mais bon, si tu perces dans ce métier, tu ne seras pas souvent ici... T'as des idées de ce que tu voudrais faire?

Je baissa la tête vers mon ventre avec un regard terrifié. Comment de la graisse? Je ne pouvais pas avoir de graisse pas moi! Je releva la tête.

-Au moin moi j'ai la chance de ne pas avoir de seins qui commencent à tomber!

Je me leva après avoir finit ma tasse et je ris, oeil pour oeil, dent pour dent. Je rinca ma tasse et la déposa dans l'évier. je regarda l'heure, l'après-midi approchait rapidement et les enfants devenaient rapidement turbulants à cet heure.

-Je crois qu'on ferais mieux d'aller les chercher sinon ton frère ne voudra plus les garder!

(après ton post on le termine ok?)

(pas de trouble, je commençais à être à court d'inspiration)

Aaaah! Je me retins de baisser les yeux vers mes seins. Ils ne commençaient pas à tomber, je le savais. Mais il savait qu'on ne pouvait pas attaquer mes seins, ou tout autre partie de mon corps. J'étais trop fière pour cela.

Je me contenta de lui faire une grimace et me leva, refermant mes dossiers.

-Il n'aura pas le choix. Si je veux qu'il les garde, il va le faire. Mais bon, c'est une bonne idée d'aller les chercher. Je m'ennuie, c'est trop calme.

(parfait)

J'aquiesca, c'est vrai qu'avec le temps, on devient habitué aux cris et aux pleures d'enfants. La maison semblait tellement vide de vie!

-Bon, j'y vais avant qu'il ne mette fin à ses jours!

Je sortis de la cuisine et pris une veste ainsi que mes clefs de voiture...


(bah heu... voilà!)